Faut-il marchandiser l’éducation nationale ?

J’ai eu envie d’écrire ces quelques lignes en réaction à la bienveillance de plus en plus accordée par le ministère envers des systèmes marchands au détriment du libre. Bienveillance ouvrant ainsi les portes à l’idée que l’enseignement et l’éducation pourraient être un marché comme les autres dans lequel il est possible de prendre des parts